AMazone air line- Comment se débarrasser des femmes... définitivement...

« Expliquez-nous docteur, nous vous écoutons »

Le vieux scientifique, qui d'après son âge a pu connaître Einstein, s'approche du tableau et explique :

« C'est très simple ; les cellules ont une espérance de vie ; chacune fait son travail, et après elles meurent comme nous-mêmes. » Il regarde l'assemblée d'uniformes militaires de toutes les couleurs, des casquettes de toutes formes ; des gens sérieux, pas des marrants. « Si une cellule, parce qu'elle est déréglée, ne meurt pas, elle va bouleverser l'équilibre de vie des autres, les déranger, déclencher des disputes. C'est ça le cancer : la rébellion des cellules contre la mort. Donc mon équipe et moi, nous avons découvert que nous pouvons agir sur les récepteurs nucléaires alpha et bêta de la cellule. Nous dérangeons son cycle de vie... et de mort tout en favorisant l' hyperœstrogénie … » Là, ça devient hermétique pour le commun des hommes en général, et pour les militaires en particulier. Le chef d'état-major recentre la démonstration :

« ... Et les conséquences ?

— Bien, si on provoque ça sur le corps d'une femme, on favorise le cancer du sein. Sur la plupart et sur les femmes ménopausées, le risque est multiplié par cent !

— Merci docteur, pour votre démonstration ; je vais continuer... » Le vieux savant peut maintenant sortir, les officiers vont prendre le relais.

Un colonel explique qu'on peut donc déclencher le cancer du sein à grande échelle. Il faut juste que l'enzyme responsable du dérèglement en chaîne soit dans l'air. Il suffit d'armes, de grosses bombes qui explosent en l'air au milieu d'un continent de femmes pour affaiblir leurs forces et les obliger à négocier.

Même pour des soldats très soucieux de respecter l'ordre et la hiérarchie, il y a un brouhaha dans l'assemblée. Tous ont des mères, des sœurs, parfois des femmes et des filles en face. Les torturer de l'intérieur par leur particularité femelle les dérange beaucoup.

Les soldats ont du mal à aller au corps à corps et à la baïonnette contre les femmes; les chefs ont trouvé la solution : empoisonner ces dernières.

Bien sûr, il ne s'agit que d'une hypothèse de travail extrême.



25/05/2013
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